Hydrocotyle vulgaris

Hydrocotyle vulgaris

L'Hydrocotyle vulgaire (Hydrocotyle vulgaris), appelée aussi Écuelle d'eau ou herbe aux patagons, est une plante rampante de milieux humides de la famille des Araliacées.

L'Hydrocotyle vulgaris est une petite vivace aquatique, rampante, à petites feuilles orbiculaires, crénelées. De petites ombelles roses apparaissent en été. C'est une plante de berge aimant les sols tourbeux. Elle est oxygénant, épuratrice et sert de refuge aux alevins. Pour la planter, il suffit de la lester d'une pierre et de la placer à l'endroit voulu du bassin.

On distingue deux types de plantes flottantes : celles qui sont enracinées (nénuphar, Aponogeton ...) et celles qui ne sont pas enracinées (azolla, châtaigne d'eau ...). Dans un bassin, quelque soit sa taille, les plantes flottantes font figure d'élément décoratif essentiel. Il ne faut toutefois pas oublier que nombre d'entre elles sont indispensables pour maintenir l'équilibre biologique d'un bassin. Les plantes enracinées à feuilles flottantes s'installent dans un panier ou dans un fond de vase, quand on a la chance de disposer d'un bassin naturel. Le rhizome ou les racines doivent être placées hors gel, c'est à dire suffisamment profondément pour que le gel ne détruise pas la souche. La terre doit être lourde, argileuse afin qu'elle ne se dilue pas dans l'eau et la souille. Nul besoin de substrat et de panier pour installer celles qui flottent totalement dans l'eau : il suffit de les déposer simplement à la surface d'un bassin et ensuite, elles font leur vie, se déplaçant au gré des courants (faibles) et du vent. Toutefois, ces plantes ont besoin d'une eau riche en éléments nutritifs pour se développer. Très utiles pour la filtration de l'eau, elles se nourrissent des déchets en suspension dans l'eau. Leur ombre filtre les rayons du soleil et évite à l'eau de se réchauffer trop vite. Les racines de certaines d'entre elles (Pistia, Salvinia ...) offrent un refuge aux poissons qui y pondent et aux alevins. Les plantes flottantes prennent donc une part active au maintien de l'équilibre biologique d'un bassin. La plupart d'entre elles disparaissent l'hiver. Les graines ou spores des plantes annuelles hivernent au fond de l'eau. D'autres, non rustiques sous nos latitudes (Salvinia, Eichhornia, Pistia ...), doivent soit être remplacées l'année suivante, soit abritées dans un bâtiment pendant l'hiver et préservées dans un bac ou un aquarium dont l'eau sera à 15°C au moins. Il suffira de les remettre à l'extérieur dès que l'eau du bassin sera suffisamment réchauffée. Elles sont donc plus faciles à utiliser dans les petits bassins où l'eau monte facilement en température dès qu'il y a un rayon de soleil. Attention : les plantes flottantes peuvent facilement devenir envahissantes. Trop nombreuses, elles empêchent la lumière d'atteindre les plantes immergées, souvent utiles pour l'oxygénation de l'eau, et les poissons. Il faut donc contrôler leur développement. Dans un bassin, quelque soit sa taille, les plantes flottantes font figure d'élément décoratif essentiel. Il ne faut toutefois pas oublier que nombre d'entre elles sont indispensables pour maintenir l'équilibre biologique d'un bassin. Les plantes enracinées à feuilles flottantes s'installent dans un panier ou dans un fond de vase, quand on a la chance de disposer d'un bassin naturel. Le rhizome ou les racines doivent être placées hors gel, c'est à dire suffisamment profondément pour que le gel ne détruise pas la souche. La terre doit être lourde, argileuse afin qu'elle ne se dilue pas dans l'eau et la souille. Nul besoin de substrat et de panier pour installer celles qui flottent totalement dans l'eau : il suffit de les déposer simplement à la surface d'un bassin et ensuite, elles font leur vie, se déplaçant au gré des courants (faibles) et du vent. Toutefois, ces plantes ont besoin d'une eau riche en éléments nutritifs pour se développer. Très utiles pour la filtration de l'eau, elles se nourrissent des déchets en suspension dans l'eau. Leur ombre filtre les rayons du soleil et évite à l'eau de se réchauffer trop vite. Les racines de certaines d'entre elles (Pistia, Salvinia ...) offrent un refuge aux poissons qui y pondent et aux alevins. Les plantes flottantes prennent donc une part active au maintien de l'équilibre biologique d'un bassin. La plupart d'entre elles disparaissent l'hiver. Les graines ou spores des plantes annuelles hivernent au fond de l'eau. D'autres, non rustiques sous nos latitudes (Salvinia, Eichhornia, Pistia ...), doivent soit être remplacées l'année suivante, soit abritées dans un bâtiment pendant l'hiver et préservées dans un bac ou un aquarium dont l'eau sera à 15°C au moins. Il suffira de les remettre à l'extérieur dès que l'eau du bassin sera suffisamment réchauffée. Elles sont donc plus faciles à utiliser dans les petits bassins où l'eau monte facilement en température dès qu'il y a un rayon de soleil. Attention : les plantes flottantes peuvent facilement devenir envahissantes. Trop nombreuses, elles empêchent la lumière d'atteindre les plantes immergées, souvent utiles pour l'oxygénation de l'eau, et les poissons. Il faut donc contrôler leur développement.

Hydrocotyle vulgaris

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Classification APG III (2009)

Règne

Plantae

Clade

Angiospermes

Clade

Dicotylédones vraies

Clade

Noyau des Dicotylédones vraies

Clade

Astéridées

Clade

Campanulidées

Ordre

Apiales

Sous-ordre

Apiineae

Famille

Araliaceae

Genre

Hydrocotyle

 

Nom binominal

Hydrocotyle vulgaris
L., 1753

Statut de conservation UICN

1584
LC : Préoccupation mineure

Description

Herbe vivace grêle et rampante, cette plante semi-aquatique vit dans les prairies humides, les tourbières. Basse (5 à 20 cm), elle est difficile à repérer dans la végétation dense. Les feuilles orbiculaires (d'où le nom d'herbe aux patagons) et peltées, à nervation palmée et à longs pétioles glabres à la base mais recouverts de fines soies dans leur partie haute, sont flottantes en période de hautes eaux. Avec une légère odeur de carotte, elles sont comestibles. Les fleurs blanchâtres, verdâtres ou roses sont très discrètes au sein de leur inflorescence (ombelle, verticille).

Confusion possible

Ses feuilles ressemblent un peu au nombril de Vénus mais ces dernières ont un limbe à bord non crénelé et vivent sur les rochers.

L’écuelle d’eau commune, Hydrocotyle vulgaris, est une plante aquatique et de zone humide dont les feuilles vertes forment comme une écuelle. Originaire d’Europe, elle s’adapte facilement aux bassins de jardin et aux rives d’étang.

L’écuelle d’eau « vulgaire », ou commune se rencontre facilement dans les petits cours d’eau européens, ou dans des lieux fortement humides. Elle apprécie notablement les zones de tourbière aux sols acides, et l’eau dont le sol de plantation est de préférence acide.

Les feuilles sont ombiliquées et portées par une longue tige qui apprécie peu un fort courant d’eau en cas d’immersion. La couleur des feuilles change en fonction de l’éclairement et des qualités physico-chimiques du sol et/ou de l’eau : du vert clair et tendre avec un bon éclairage et un milieu acide à un vert plus soutenu, presque foncé, lorsque les conditions deviennent moins favorables.

Les feuilles ressemblent à de petits parasols flottant au fil de l’eau, juste au-dessus de la surface lors d’une culture en aquarium (très haut) ou en bassin de jardin. Mais cette plante de zone humide se plaît particulièrement en terrarium humide ou en bordure de bassin ou d’étang, avec juste les racines dans l’eau.

En culture émergée, Hydrocotyle vulgaris pointe de nombreuses tiges solides portant la feuille-parasol à son sommet, formant une dense forêt de tiges. C’est une excellente plante pour couvrir un sol et elle peut être très utile pour masquer les bordures d’un bassin.

Bon à savoir : l’écuelle d’eau forme une jolie association avec Equisetum americanum en bordure de bassin de jardin.

Selon le milieu de culture, la plantation de l’écuelle d’eau se fera en émersion avec les racines dans l’eau, ou dans une zone constamment humide ! La culture émergée est une excellente solution, elle peut même se réaliser en potée. La plante a besoin d’un substrat meuble, oxygénant et non tassé pour se développer au mieux. En milieu naturel, l’écuelle d’eau est répandue dans les marais, les prés humides et en bordure de fossé.

L’écuelle d’eau accepte la culture en immersion totale, en aquarium d’eau douce continentale ou en bassin de jardin, dans une eau légèrement acide mais ni trop dure, ni trop chaude, entre 8 à 28 °C.

Le substrat doit être souple, non compact. Les racines doivent bénéficier d’une bonne oxygénation et surtout rester humides.

Attention : le substrat doit être acide, mais jamais calcaire, ce qui est vraiment à éviter (même si la plante l’accepte, le développement est amoindri).

Quand planter Hydrocotyle vulgaris ?

Les écuelles d’eau s’installent toute l’année en aquarium car le milieu est stable en température, mais en bassin de jardin, il est judicieux d’attendre le début du printemps, dès que les gelées nocturnes sont éloignées, pour planter les écuelles.

Comment la planter ?

Dans tous les cas, on privilégiera les situations à forte humidité, ou avec les racines dans quelques centimètres d’eau avec une densité de l’ordre de 8 à 12 par m².

La culture en aquarium implique un substrat meuble (sable de Loire par exemple, ou des sols complexes pour plantes aquatiques), en terrarium ou bassin de jardin, le substrat sera de nature sableuse également pour favoriser le drainage et le maintient permanent de l’humidité.

 

 Culture et entretien d’Hydrocotyle vulgaris

1585

 

La culture de l’écuelle d’eau en immersion totale demande un bon éclairage, sur une bonne douzaine d’heures (mais jusque 16 heures/jour si l’éclairage est modéré).

En culture émergée, il faut arroser abondamment les racines. Les écuelles d’eau sont persistantes avec un maintien permanent d’humidité et de chaleur suffisante (plus de 10 °C). Si l’eau vient à manquer, les écuelles d’eau finissent par mourir (il en va de même avec le gel qu’elles ne supportent pas). Ne prévoyez surtout pas de période de repos.

En hiver, prévoyez une zone d’eau courante toujours dégagée sans gel, l’écuelle repartira de plantules minuscules.

Taille d’Hydrocotyle vulgaris

Cette petite plante à tige traçante et radicante donne naissance à de nombreuses petites feuilles rondes, à bordure crénelée, portées par de longs et fins pétioles pubescents, insérés au milieu du limbe. Il suffit de couper la tige au plus près des racines, sans abîmer le collet, pour tailler l’écuelle d’eau.

En aquarium, la taille se réalise à tout moment de l’année, mais en culture extérieure, la croissance impose une éventuelle taille durant la saison chaude.

Attention : elle aime croître en mode compact, n’éclaircissez pas trop afin de conserver un aspect touffu.

Maladies, nuisibles et parasites

En milieu immergé, l'écuelle d'eau n'a pas de nuisible connu et elle résiste assez bien à certaines espèces phytophages, mais les jeunes feuilles sous l'eau, tendres, sont facilement mangées par des poissons comme les carpes (koïs) ou les poissons rouges. Les escargots aquatiques ne consomment que les feuilles en perdition, ayant déjà perdu leur chlorophylle.

En milieu émergé, les prédateurs habituels comme les limaces seront écartés avec les moyens phytosanitaires classiques.

Plantes du même type

Rheum palmatum

Liatris spicata

Limnobium laevigatum

Neoregelia

Espèces et variétés d’Hydrocotyle vulgaris

Hydrocotyle vulgaris

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  • Nom commun : Écuelle d’eau commune
  • Floraison : De minuscules fleurs de couleur blanc verdâtre à rosée, souvent cachées à la base des feuilles, fleurissent à partir de juin.
  • Végétation : Plante vivace. Le feuillage est rustique en aquarium et semi-rustique en bassin de jardin, disparaissant en cas de gelées.
  • Qualités : Petite espèce dans le genre. La croissance est rapide, pouvant très vite coloniser plusieurs m² en quelques semaines.

Hydrocotyle vulgaris Hydrocotyle flottante

  • Nom commun : Hydrocotyle flottante
  • Floraison : Sa floraison s’étale de juillet à août.
  • Végétation : Le feuillage n’est pas persistant en hiver en zone de gelées.
  • Qualités : En étang, on préférera cette espèce, plus grande mais aussi plus envahissante.

 

 Plantation d’Hydrocotyle vulgaris

 

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Où la planter ?

Selon le milieu de culture, la plantation de l’écuelle d’eau se fera en émersion avec les racines dans l’eau, ou dans une zone constamment humide ! La culture émergée est une excellente solution, elle peut même se réaliser en potée. La plante a besoin d’un substrat meuble, oxygénant et non tassé pour se développer au mieux. En milieu naturel, l’écuelle d’eau est répandue dans les marais, les prés humides et en bordure de fossé.

L’écuelle d’eau accepte la culture en immersion totale, en aquarium d’eau douce continentale ou en bassin de jardin, dans une eau légèrement acide mais ni trop dure, ni trop chaude, entre 8 à 28 °C.

Le substrat doit être souple, non compact. Les racines doivent bénéficier d’une bonne oxygénation et surtout rester humides.

Attention : le substrat doit être acide, mais jamais calcaire, ce qui est vraiment à éviter (même si la plante l’accepte, le développement est amoindri).

Quand planter Hydrocotyle vulgaris ?

Les écuelles d’eau s’installent toute l’année en aquarium car le milieu est stable en température, mais en bassin de jardin, il est judicieux d’attendre le début du printemps, dès que les gelées nocturnes sont éloignées, pour planter les écuelles.

Comment la planter ?

Dans tous les cas, on privilégiera les situations à forte humidité, ou avec les racines dans quelques centimètres d’eau avec une densité de l’ordre de 8 à 12 par m².

La culture en aquarium implique un substrat meuble (sable de Loire par exemple, ou des sols complexes pour plantes aquatiques), en terrarium ou bassin de jardin, le substrat sera de nature sableuse également pour favoriser le drainage et le maintient permanent de l’humidité.

 

 Taille d’Hydrocotyle vulgaris

Cette petite plante à tige traçante et radicante donne naissance à de nombreuses petites feuilles rondes, à bordure crénelée, portées par de longs et fins pétioles pubescents, insérés au milieu du limbe. Il suffit de couper la tige au plus près des racines, sans abîmer le collet, pour tailler l’écuelle d’eau.

En aquarium, la taille se réalise à tout moment de l’année, mais en culture extérieure, la croissance impose une éventuelle taille durant la saison chaude.

Attention : elle aime croître en mode compact, n’éclaircissez pas trop afin de conserver un aspect touffu.

Maladies, nuisibles et parasites

En milieu immergé, l'écuelle d'eau n'a pas de nuisible connu et elle résiste assez bien à certaines espèces phytophages, mais les jeunes feuilles sous l'eau, tendres, sont facilement mangées par des poissons comme les carpes (koïs) ou les poissons rouges. Les escargots aquatiques ne consomment que les feuilles en perdition, ayant déjà perdu leur chlorophylle.

En milieu émergé, les prédateurs habituels comme les limaces seront écartés avec les moyens phytosanitaires classiques.

Multiplication d’Hydrocotyle vulgaris

 

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La multiplication de l’écuelle d’eau se réalise essentiellement par voie végétative en séparant un ensemble de tiges avec les racines et les rhizomes : il suffit de couper dans la masse.

En culture extérieure, séparez les plants pour les replanter ailleurs dès que les beaux jours arrivent, en fin de printemps et en été.

Contre les envahisseurs terrestres comme les limaces, évitez la solution d’huile de lin à l’ail (en faisant macérer de l’ail broyé dans de l’huile de lin) pulvérisée sur le sol, les écuelles d’eau n’apprécieront pas. Pour éviter les limaces et utiliser une solution écologique, un piège avec un récipient rempli de bière sera bénéfique pour les plantes : les limaces, attirées par le sucre de la bière, s’y noient.

L’écuelle d’eau commune, historiquement originaire d’Europe, a colonisé une bonne partie des berges de zones humides de toute la planète où le climat est tempéré. Plusieurs variétés ont été décrites en taxonomie mais aucune n’a de véritable validité : la plante n’est pas particulièrement polymorphe, mais la couleur du feuillage change facilement en fonction des milieux et conditions de culture : cela a créé quelques confusions.

Plante vivace de 10-20 cm, à tige très grêle, blanchâtre, rampante, émettant à chaque nœud un faisceau de racines fibreuses, 1-3 feuilles et 1-2 pédoncules 
- feuilles longuement pétiolées, peltées-orbiculaires, crénelées, glabres, à 7-9 nervures rayonnantes 
- fleurs blanches ou rosées, très petites, subsessiles, 4-6 en 1-3 verticilles rapprochés sur des pédoncules axillaires, nus, filiformes, bien plus courts que les pétioles 
- involucre à folioles courtes 
- calice à limbe nul 
- pétales orales, entiers, aigus 
- fruit suborbiculaire un peu plus large que long, échancré au sommet et à la base, comprimé par le côté 
- méricarpes à 5 côtes filiformes, les intermédiaires plus saillantes et arquées.

Écologie Lieux humides, surtout tourbeux, dans toute la France et en Corse.

Répartition Europe méridionale et centrale, jusqu'à la Scandinavie ; Caucase ; Maroc.

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Le genre Hydrocotyle compte une centaine d'espèces issues des régions chaudes et tempérées. C'est une vivace rampante que l'on retrouve en milieux humides aquatiques et berges. Ses feuilles à la forme arrondie au coloris vert et aux contours verts--jaune vous feront penser à celle du trèfle. Elle se plante dans un sol de préférence lourd et immergé offrant une exposition ensoleillée et tolère la mi-ombre. L'hydrocotyle Vulgaris est très rustique : au moins jusqu'à -15°C.

Plante oxygénant
Une plante des marécages produisant des stolons qui s'enracinent.
Hydrocotyle vulgaris a de petites feuilles rondes et des fleurs minuscules blanc rose.
le feuillage peut être persistant dans les régions à hiver doux.
Cette plante aquatique est peu exigeante. Plante à surveiller.
3 plantes/m².

Profondeur d'eau: de + 0 cm jusque -10 cm
Taille : 5 cm   
Floraison : Juin-Aout
Situation : Soleil, mi-ombre
Utilisation : ruisseaux, cascade

L'Hydrocotyle vulgaris, plante connue pour ses vertus oxygénantes et nettoyantes (il absorbe les matières nutritives en suspension), est une indispensable au bassin!

Cette aquatique se présente sous forme de petites feuilles vert clair de 2 à 3 cm de larges, au bord légèrement échancré. Tapissante, elle flotte sur l'eau et reste verte jusqu'à -5°C.

On l'utilise aussi retombante, en décoration sur une cascade ou un tonneau. Elle accepte l'immersion jusqu'à
une profondeur de -10 cm (distance entre le rhizome et la surface de l'eau).

Étymologie : vient de 'hydor' qui signifie eau et 'cotilus' nombril, allusion à la forme des feuilles qui sont ombiliquées.
Origine : Europe, Afrique du Nord.

 

 

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